Jeudi après-midi, le comité de quartier Saint-Marceau a donné rendez-vous aux écoles primaires du quartier pour sa traditionnelle plantation d'un arbre. Les représentants de la mairie, ceux du comité, et environ 130 élèves de CE2 se sont retrouvés rue Michel Royer, au débouché de la venelle fraîchement aménagée desservant le lycée Charles Péguy.
On notait également la présence de M. Thoinet, proviseur dudit lycée, qui a accueilli, après la cérémonie, tout ce beau monde dans son établissement, pour un convivial goûter.
Deux épicéas de Serbie (Picea Omoïka) ont été installés, avec l'active participation des enfants. "Planter un arbre, c'est un acte de foi en la terre, un acte de charité envers les générations futures qui jouiront de ses fruits, alors que nous ne serons plus".
Ce beau message de Louis Mercier, apporté par Ludovic, de l'école des Montées, résume bien tout ce que cette sympathitique manifestation a de symbolique dans ce quartier, où la tradition horticole est encore si fortement ancrée.

La république du Centre 14/03/1998

Dans le cadre des fêtes de printemps, la foule était au rendez-vous, samedi. Le château des Hautes-Montées a soufflé ses cent bougies. Un après-midi d'animations variées, un repas et un grand spectacle ont ponctué la journée.

Le comité de quartier a choisi, cette année, de s'associer à l'Institut de la rue des Montées, pour installer là, sa traditionnelle manifestation et commémorer le centième anniversaire du château.
Les stands disséminés dans le parc, ont laissé aux visiteurs tout loisir de profiter de ce site magnifique.
Le programme des fêtes était alléchant. Il a tenu toutes ses promesses. Il fallait, cependant, aimer la marche à pied pour apprécier cet après-midi à sa juste valeur et aller d'un stand à l'autre pour admirer le travail de quelques artisans, saliver devant les étals des producteurs locaux, s'arrêter quelques instants devant les rutilantes carrosseries de voitures anciennes ou participer au concours de pétanque.
Pour les plus jeunes, pas de problème. Promenades à poney, pêche à la ligne, structures gonflables, rugby, atelier de pâte à sel, de maquillage ou ferme vivante avaient largement de quoi les occuper.
Après un repas servi à 300 personnes, au son des chants marins de la Bouline, un très nombreux public a assisté au clou de cette journée festive : l'épopée historique du château des Hautes-Montées, un beau voyage dans le temps, quatre siècles d'Histoire à travers un spectacle son et lumière de grande qualité, qui a rehaussé encore la majesté du site. Des costumes et des décors soignés, des figurants très convaincants, des récits, de la musique, des chansons et puis les lumières éclairant la façade de pierre et les artifices, les bouquets multicolores et crépitants, les fontaines d'étincelles, et tout cela dans une belle et harmonieuse partition.

La République du Centre  18/05/1998.

   Le vide-grenier

Cette manifestation a été intégrée aux fêtes de St-Marceau en 1994, sur l'initiative de commerçants riverains.
L'opération "Vide-grenier" permet à tout habitant du quartier, de vendre ce qui lui est devenu inutile. Ces "brocanteurs" d'un jour, habitent ou travaillent dans le quartier.
Pour le bon déroulement de cette manifestation, les organisateurs se doivent de faire respecter une réglementation très stricte.

   Les courses pédestres

Ces courses, créées en 1990, à l'instigation du comité de quartier pour diversifier ses activités, ont toujours remporté un grand succès. En outre, depuis 1994, cette épreuve, sous le nom "Course des As", entre dans le cadre du challenge "la Ligérienne d"Orléans".

Le quatuor Calixa, 1er prix de musique de chambre du conservatoire d'Orléans, et Olivier Périn, organiste titulaire de la cathédrale d'Orléans, ont fait vibrer les voûtes de l'église St-Marceau, par le jeu flamboyant des cuivres et celui tout à la fois spirituel et tourbillonnant de l'orgue.

Ce concert s'est placé sous le signe de la variété, alternant des formations à deux, trois, quatre cuivres, avec ou sans orgue, et des morceaux à l'orgue seul. Variété également avec un programme très oecuménique, traversant les styles et les époques d'écriture, de la Renaissance à nos jours, de Scheidt à Jean Françaix, en passant par Haendel, Rameau, Messiaen ou Vierne, offrant ainsi un large panorama musical qui a mis en valeur toute la richesse du répertoire, les possibilités des instruments et le talent des musiciens.

La République du Centre 23/11/1998.

Dés 4 heures du matin, dimanche, une centaine d'exposants ont installé leurs stands. Cette 26^ème édition a attiré de nombreux chineurs tout au long de la journée.

La brocante du quai de Prague est manifestement un événement très attendu à Saint-Marceau. Personne ne s'en plaindra, et surtout pas le comité de quartier Orléans St-Marceau, qui organisait la 26^ème édition de ce rendez-vous prisé aussi bien des brocanteurs que des chineurs.
Elle a été inaugurée en fin de matinée, au son de la musique municipale de Dry, en présence notamment du maire, Jean-Pierre Sueur, d'Henri Benozio, adjoint au commerce, des élus du quartier Saint-Marceau, et d'André Dabauvalle, conseiller général. Les exposants étaient une centaine à s'être installés pour la journée, des Tourelles à la rue des Lavandières, investissant même une partie de l'avenue Trévise. Certains n'ont pas hésité à se lever très tôt pour ne pas rater les premiers clients. A 4 heures du matin, on pouvait déjà entendre le bruit des planches et des tréteaux en train de prendre place.
Quant aux Orléanais, ils ont répondu toute la journée à l'appel de la chine. La clémence de ce beau dimanche automnal n'y est sans doute pas étrangère. La foule des grands jours fut au rendez-vous et il était bien difficile pour le simple riverain de se frayer un chemin entre les étals et les visiteurs pour accéder aux commerces de la rue. Quoi qu'il en soit, du véritable amateur à la recherche de la bonne affaire au simple promeneur du dimanche après-midi, chacun a pu trouver son compte en se promenant le long des étalages débordant d'objets hétéroclites et d'articles variés, véritables cavernes d'Ali-Baba : de belles pièces, certes, avec des meubles, des livres, des disques, de la vaisselle, une multitudes d'objets, d'ustensiles ou autres bibelots, mais aussi des choses plus étonnantes , tel ce tableau négligemment posé sur le sol et représentant....le réseau électrique triphasé !
Il y avait même ce qu'il est convenu d'appeler des produits du terroir. Bref, vraiment de quoi se laisser tenter.

La République du Centre 15/12/1998.

Un spectacle de Noël apprécié par les Marcellins

Traditionnellement, pour le comité de quartier Orléans Saint-Marceau, le cycle d'animations proposé aux Marcellins se termine par la brocante du quai de Prague. Or, en cette année 1998, le comité a décidé de jouer les prolongations avec l'organisation, dimanche, d'un spectacle de Noël.

Celui-ci s'est déroulé tout l'après-midi, dans la salle Maxime-Perrard. Le public a pu se divertir en écoutant sans modération le groupe "20 Ans Après", qui a passé en revue des tubes français, anglais, ou même franglais, des années 60 au Top 50, en appréciant la superbe voix d'Isabelle Alexys. Au final, le public ne s'est pas trompé en ovationnant Béatrice, Guy et Bernard dans leur interprétation de "Belle", extrait de la comédie musicale "Notre-Dame de Paris".

"Cette nouvelle manifestation est plus particulièrement destinée aux personnes seules ou isolées, pour qu'elles puissent se divertir et rencontrer d'autres gens, tout à fait dans l'esprit de Noël", explique Noëlle Page, responsable de la commission animation du comité : "Nous voulions offrir cet après-midi à tous ceux qui passeront Noël seuls." A priori, le message est bien passé et la fréquentation a été à la hauteur des espérances.

Le groupe "20 Ans Après"

Isabelle ALEXYS	Pour aller visiter le Site Internet du groupe, cliquez ici